Respect. Faire Du Vélo Depuis Knysna Port Elizabeth

Les Sud-Africains sont souvent prêts à nous dire qu’ils nous trouvent fous ou extrêmement aventureux lorsque nous les rencontrons sur la route. Cela peut également déclencher une conversation qui peut déboucher sur une suggestion d’hébergement, de déjeuner, de dîner ou de camaraderie. Parfois, nous obtenons le mot respect avec un mouvement du poing contre la poitrine.

La plupart des activités brise-glace commencent par un Sud-Africain qui demande avec enthousiasme : « Où es-tu parti ? » Nous répondons que nous traversons l’Afrique du Sud sur des routes de gravier et de terre, puis avec un soupçon de décision et un soupir, pointons vers la prochaine destination majeure. Gin interprète la réponse initiale comme « sho sho », que Gin considère comme l’équivalent d’un Southern Lordy Jesus ! La réponse typique est « Oh, vous devriez certainement passer par là ! » Avez-vous une carte? Laissez-moi vous le montrer. D’innombrables personnes ont proposé des suggestions qui ont conduit à un réseau de lignes de surligneur sur notre carte. Parfois, ces lignes se trouvent sur des zones qui ne sont même pas imprimées avec le plus faible des points d’encre.

Cela peut conduire à de beaux endroits, mais cela cause souvent de la confusion. Il n’y a pas d’itinéraire unique qui vous mènera à travers l’Afrique du Sud. Il y a tellement d’itinéraires incroyables à travers l’Afrique du Sud qui doivent être choisis et choisis. Parfois, il est nécessaire de négliger un autre itinéraire qui pourrait être plus attrayant. Il existe de nombreuses perspectives. Il est préférable d’obtenir l’avis du plus grand nombre de personnes possible, de faire des recherches par nous-mêmes et d’essayer ensuite de trouver un terrain d’entente.

Notre plus grand dilemme d’itinéraire a été lorsque nous avons dû choisir le chemin vers la côte. Nous avons discuté de toutes les opinions que nous avons reçues tout au long du parcours et nous avons décrit chaque personne par son nom, la description de l’endroit où elle nous a rencontrés et ce que nous avons vu. Cela a ajouté de la crédibilité à la discussion. C’était quelque chose comme ça : Nicolas a suggéré que nous prenions l’ancien col par ici. Il a déplacé un doigt sur des lignes sur une carte et est un cycliste de montagne. Le motocycliste à l’allure dépenaillée de Keith Richards nous a dit de passer par l’ancien col; cependant, la dame photographe kenyane a suggéré que nous prenions le col Prince Alfred jusqu’à Knysna, puis à travers la forêt. Le couple de motocyclistes Franschhoek a également convenu que c’était spectaculaire. Après avoir pris la décision de remonter l’ancien col (photos à la fin de cet article), nous avons réalisé que la côte était un paradis touristique. Nous avons décidé de revenir par l’autre route et de remonter le col Prince Alfred en zigzag pour profiter de la beauté et du charme du Klein Karoo. Virginie était ravie que nous ayons franchi tous les cols de la région. La récompense était encore plus grande des rencontres avec des gens incroyables.

Nous avons été accueillis par de nombreux actes de gentillesse près de l’entrée fermée de Baviaanskloof, où se trouve également une réserve de gibier. Nous devions entrer dans la réserve le lendemain, mais nous sommes allés trop loin le long de la piste sablonneuse et avons fini par trouver une aire de camping. Clive et Jeneane se sont retirés du chemin de terre vers leur zone de camping dans la brousse. Clive a baissé sa fenêtre en s’exclamant « NO WAYS! » Clive et Jeneane sortaient du chemin de terre menant à leur camp de brousse quand il a baissé sa fenêtre et s’est exclamé, PAS DE MOYENS! Ai-je mentionné qu’il faisait 41-42 degrés Celsius ? Nous vous invitons à venir prendre le thé chez nous.

Est-il inhabituel pour nous de recevoir sans cesse la même gentillesse et la même générosité ? Ce niveau d’hospitalité n’est pas quelque chose qu’un étranger ou un touriste connaîtrait. Bien que je ne puisse pas le dire avec certitude, je pense que notre choix de transport a contribué aux nombreux avantages dont nous avons bénéficié. Le vélo vous permet de vous rendre dans des endroits que les touristes étrangers ne visitent généralement pas. Vous rencontrez des gens qui sont gentils et qui ont du respect pour ceux qui travaillent dur pour voir leur pays. Ces mêmes personnes ont souvent la gentillesse de s’occuper de quelques cyclistes fatigués qui auraient pu mourir d’un coup de chaleur.

Gardez un œil sur Gin, et je garderai un œil sur vous. Cette petite fille est folle. Nous avons été invités à loger chez le chef forestier de Buffelsnek. Ce rat terrier est sa fierté et sa joie. La regarder sauter dans un étang pour chasser les grenouilles et creuser des trous pour les chevaux était épuisant. Nous l’avons également vue sortir le lendemain et elle a couru environ un kilomètre avant de disparaître à flanc de montagne. Nous étions convaincus qu’elle était peut-être sur un ferry pour le lac Malawi et qu’elle passerait à la nage. Sur certains parcours, on croise souvent des motocyclistes tout-terrain. Nous plaisantons et les appelons sarcastiquement, dans une veste en cuir intégrale et des plastrons, des poules mouillées. Mais nous les envions secrètement. Le Karoo se sent et la plantation forestière controversée peut être vue d’un côté. Gin s’arrête pour prendre la pose. La première descente d’aujourd’hui. La longue descente vers le De Vlugt, avant l’ascension du col Prince Alfred. Bière chaude, nourriture moche, mauvais service. La gentille dame qui dirigeait le jardin de thé De Vlugt était un endroit idéal pour se ressourcer avant l’ascension. Un beau pitt au début du col abritait plusieurs chutes d’eau. Ce n’était qu’un quart du chemin, mais c’était une montée raide. Notre voyage dans Baviaanskloof a commencé par une gorge isolée à travers de magnifiques terres agricoles et sauvages. Il se termine ensuite par 60 km de cols accidentés dans les magnifiques montagnes de Baviaans. Le restaurant/jardin curieusement décoré était très inhabituel. Nous sommes partis camper avant midi. Plus tard dans la journée, il a atteint 42C. C’est ridiculement chaud en Fahrenheit. Bo-kloof. Nous sommes allés à la ferme pour le dîner de tarte au gibier. On voit la tisserande nourrir ses petits. Le mâle tisserand construit le nid et la femelle le détruit si elle ne l’aime pas. Le kloof est l’endroit où les ouvriers agricoles s’installent. La rivière coule dans et hors du kloof, se faufilant dans et hors des falaises majestueuses. C’est plus de 80 fois le long de la route de 200 km. Sur la route, un singe vervet me regarde de haut. Deux véhicules étranges. Le buffle du Cap est assez dangereux. Le camp de brousse est le prochain arrêt. Jeanines et Clive au camp de brousse. Sur leurs terres, ils nous ont emmenés au Kloof. Le canyon mène à une cascade et à des falaises étonnantes. Notre première expérience avec Kloofing. Le pain braai à base de pain de coq est délicieux (mon orthographe est peut-être erronée). Twiggy à la recherche d’aigles. La photo de famille prise le matin de notre entrée dans la réserve. Nous avons appris que le tronçon de 60 KM du parcours est désormais fermé aux vélos, sauf si vous disposez d’un véhicule d’assistance. C’est là qu’un buffle du Cap a tué un homme il y a quelques années. Cette route abrite certaines des pistes de terre les plus belles et les plus époustouflantes que j’ai jamais vues. Bien que nous ayons attendu des heures à la porte pour essayer de convaincre les conducteurs de ralentir en tant que véhicules d’assistance, je ne pense pas que quiconque était intéressé par le risque. Nous avons dû faire un tour dans une camionnette d’un garde forestier. Ce fut une expérience très triste pour moi. Le lendemain nous apporta les premières pluies de notre voyage. Gin a reçu un bon spray de boue. Nous avons gravi une colline avec une faible vue sur les Baviaans en arrière-plan. Ces graphismes en dollars étaient centrés sur chaque volet d’un étrange ensemble de fenêtres de Jeffries Bay. La N2 est visible depuis une route secondaire sur le chemin de Port Elizabeth. Nous avons dû faire un tour dans une camionnette d’un garde forestier. Ce fut une expérience très triste pour moi. Le lendemain nous apporta les premières pluies de notre voyage. Gin a reçu un bon spray de boue. Nous avons gravi une colline avec une faible vue sur les Baviaans en arrière-plan. Ces graphismes en dollars étaient centrés sur chaque volet d’un étrange ensemble de fenêtres de Jeffries Bay. La N2 est visible depuis une route secondaire sur le chemin de Port Elizabeth. Nous avons dû faire un tour dans une camionnette d’un garde forestier. Ce fut une expérience très triste pour moi. Le lendemain nous apporta les premières pluies de notre voyage. Gin a reçu un bon spray de boue. Nous avons gravi une colline avec une faible vue sur les Baviaans en arrière-plan. Ces graphismes en dollars étaient centrés sur chaque volet d’un étrange ensemble de fenêtres de Jeffries Bay. La N2 est visible depuis une route secondaire sur le chemin de Port Elizabeth.

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